Arguments

 

Initiative "Entreprises responsables"

Les PME suisses disent NON à l’initiative de responsabilité des entreprises

Non à la loi anti-PME qui menace l’emploi !

L’initiative prévoit un devoir de diligence, ainsi que de nouvelles dispositions en matière de responsabilité pour les entreprises ayant leur siège social, leur administration centrale ou leur principale succursale en Suisse. Une entreprise suisse sera désormais tenue pour responsable des méfaits (violation des droits de l'homme ou des normes environnementales internationales) causés par des filiales ou des fournisseurs économiquement dépendants de sa chaîne d’approvisionnement. Le devoir de diligence va encore plus loin et oblige les entreprises à contrôler et à surveiller non seulement les filiales et les fournisseurs économiquement dépendants, mais aussi l’ensemble de leur chaîne d'approvisionnement. Les PME qui dépendent de fournisseurs étrangers ou qui ne disposent pas d’un grand département de Compliance sont donc particulièrement concernées par l’initiative de responsabilité des entreprises. Même si l'initiative poursuit des objectifs nobles, ses exigences radicales font plus de mal que de bien. Une telle expérience à haut risque ne peut se justifier en période de Coronavirus.

 

Initiative extrême du GSSA contre le financement du matériel de guerre

Le PLR recommande de rejeter cette initiative extrême

L’initiative du GSsA « Pour une interdiction du financement des producteurs de matériel de guerre » constitue une nouvelle attaque des personnes qui veulent supprimer l’armée, et visent, cette fois-ci, la Banque nationale suisse et le système de sécurité sociale. Cette initiative aurait des effets néfastes pour l’AVS, les caisses de pension et les PME suisses. Elle met en danger non seulement le système de défense de notre pays, mais aussi notre sécurité sociale. Elle nuit à l’économie et menace directement plusieurs milliers  emplois, alors que la Suisse traverse une crise due au coronavirus.

NON au diktat du Groupe pour une Suisse sans armée

NON aux dégâts infligés aux PME et à l’emploi

NON à une mise sous tutelle politique de la Banque nationale suisse

NON à des interdictions qui coûteraient cher à l’AVS et aux caisses de pension