De longue date, les écoliers sont sollicités pour vendre différents objets en soutien à des organisations et actions diverses. Récemment, en pleine campagne sur l’initiative «Biodiversité», des enfants ont vendu des «Ecus d’or», dont les bénéficiaires sont ProNatura et Patrimoine Suisse. Ils ont donc, bien involontairement, été contraints de financer ces organisations et leur propagande politique.
Quels sont les critères existants pour donner des autorisations de vente dans le cadre scolaire?
Parmi les neuf premiers projets retenus dans le cadre du programme «Vivre ensemble» (communiqué de presse), le groupe libéral-radical constate avec stupéfaction qu’un des projets retenus est porté par «l’intercollectif Grève du climat».
Si le but poursuivi par l’organisation d’un Black Freeday est louable en soi, le Gouvernement ne considère-t-il pas qu’il soutient ainsi directement, et avec des fonds publics, un acteur prônant régulièrement la désobéissance civile?
Le Conseil d’Etat est chargé de rédiger un rapport qui:
Examine la charge bureaucratique des enseignants et identifie ce qui est superflu et ce qui pourrait être abandonné dans les tâches réalisées actuellement ;
Le cas échéant, présente des mesures concrètes d’ab:ndon ou de suppression de tâches réalisées par les enseignants et les écoles. Au besoin, des modifications législatives concrètes sont proposées.
Est-il possible de connaître le nombre d’établissements scolaires privés dans le canton et quelles formes de soutiens ces écoles privées reçoivent-elles de l’Etat et des communes?
Afin de suivre la volonté du Conseil d’Etat de travailler par contrat de prestations avec les entités partenaires de l’Etat (représentant financièrement plus de la moitié du budget de l’Etat), de réduire le nombre de lois et de viser l’équité de traitement pour toutes les entités partenaires, indépendamment du département de «tutelle», il est demandé au Conseil d’Etat d’élaborer une loi concernant les contrats de prestations et la gouvernance des partenariats.
Le Conseil d’Etat peut-il nous renseigner sur le nombre réel de cas de nuisances, crimes et délits commis dans les transports publics neuchâtelois par des requérants d’asile? Une enquête et récolte de témoignages a-t-elle été effectuée auprès des collaboratrices et des collaborateurs de TransN œuvrant sur les lignes sensibles (Fleurier – Les Verrières, Boudry – Neuchâtel)? Le renforcement de la sécurité a-t-il eu l’effet escompté? Quels sont les coûts réels de sécurité imputables à ces nuisances dans les transports publics? Comment se fait-il que des migrants déboutés et considérés comme «problématiques» installés au centre des Verrières (spécialisé en la matière) puissent se déplacer librement et sans surveillance – y compris le soir – dans les transports publics et dans les rues?
La fermeture brutale de ce home, qui a mis en difficulté nombre de résidents, n’aurait-elle pas pu être anticipée par les moyens de contrôle dévolus aux EMS qui font partie du Service cantonal de la santé publique (SCSP)?
Existe-t-il dans notre canton, tout comme cela se passe dans le canton de Vaud, des ophtalmologues étrangers qui opéreraient sans le titre d’ophtalmo-chirurgie requis en Suisse?
Dans ce cas, ils mettraient en danger potentiel leurs patients opérés et abuseraient l’autorisation de facturer à charge de l’assurance obligatoire des soins (AOS) en prétendant à des honoraires auxquels ils n’auraient pas droit.
Nous demandons au Conseil d’État de présenter au Grand Conseil un rapport d’information et des mesures concrètes pour améliorer la situation des sapeurs-pompiers volontaires, considérant notamment le besoin croissant de cet appui en lien avec l’urgence climatique et ses conséquences sur notre canton.
Le Conseil d’État peut-il nous faire savoir si le rectorat de l’Université de Neuchâtel (UniNE) a porté plainte pour violation de domicile contre le collectif pour la Palestine, suite à la seconde occupation d’un bâtiment universitaire?
Si non, quels sont les motifs invoqués par le rectorat pour ne pas avoir saisi la justice suite à cette occupation illégale par des groupuscules estudiantins?