L’introduction, le 3 avril, de droits de douane de 31% sur les produits suisses exportés aux États-Unis aurait porté un coup sévère à notre industrie. La menace n’est cependant pas totalement éliminée, mais provisoirement reportée de 90 jours.
Quels sont les montants annuels des exportations du canton de Neuchâtel vers les États-Unis ?
Quels sont les produits concernés ?
Si de tels droits de douane étaient introduits, quelles conséquences en termes d’emplois pourrait-on craindre dans les entreprises concernées ?
L’Administration fédérale des finances a diffusé un communiqué de presse, le 4 février 2025, qui place notre canton dans une situation peu enviable. Les revenus imposables des personnes physiques et les bénéfices imposables diminuent, alors que les recettes augmentent. Selon notre lecture, notre canton pressurise toujours plus ses contribuables pour maintenir ses recettes. Le Conseil d’État partage-t-il cette lecture ?
Les finances du Réseau hospitalier neuchâtelois (RHNe) et d’autres hôpitaux suisses restent largement déficitaires, sans perspective d’amélioration. Dans le journal ArcInfo du 29 janvier 2025, le président du Conseil d’administration, M. Philippe Eckert, évoque une stratégie fondée sur les moyens plutôt que sur les besoins.
Comment le Conseil d’État interprète-t-il cette déclaration ?
Par ailleurs, la répartition prévue des blocs opératoires (60% Pourtalès, 40% La Chaux-de-Fonds) est-elle toujours respectée, en tenant compte des investissements dans le Haut ?
La croissance démographique cantonale reste faible, mais grâce aux efforts du Conseil d’État, le solde migratoire est redevenu positif.
Qu’en est-il sous l’angle fiscal ? Sur dix ans, Neuchâtel a-t-il gagné ou perdu en revenu et fortune imposables ? Comment évoluent ces flux ?
En comparaison intercantonale, quelle est l’évolution des ressources fiscales, de la pyramide fiscale des arrivants/départs, du nombre de contribuables de plus de 150'000 francs et du solde naturel des Suisses et étrangers fin 2024 ?
On a beaucoup parlé de désarmer la police de la Ville de Lausanne, ce qui est franchement inquiétant quant aux moyens donnés aux forces de l’ordre pour remplir leur mission. Quelle est la situation dans le canton et dans les villes du canton de Neuchâtel ? La politique actuelle est-elle susceptible d’être modifiée dans un avenir plus ou moins proche ?
Les foyers de jour jouent un rôle clé en contribuant à maintenir l’autonomie des aîné-e-s et à retarder leur entrée en institution. Considérant que les foyers de jour dans le canton de Neuchâtel ne parviennent pas à financer les prestations prévues par la Planification médico-sociale (PMS) et ainsi assurer leur pérennité, nous souhaitons savoir si le Conseil d’État envisage de procéder à une révision du financement des foyers de jour dans le canton et, si oui, dans quel délai.
Les urgences hospitalières sont particulièrement débordées durant les périodes de fêtes et de vacances scolaires, en raison essentiellement de la fermeture prolongée des cabinets médicaux qui ne proposent pas de remplaçants.
N’est-il pas temps d’assortir le droit de pratique d’une obligation de garantir l’ouverture d’un nombre minimal de cabinets, déterminé par le service cantonal de la santé publique (SCSP), durant ces périodes, comme c’était l’usage précédemment, et de façon volontaire, chez les médecins « baby-boomers » ?
Dans le cadre de la révision de la loi sur l’accueil des enfants (LAE), il est demandé au Conseil d’Etat d’étudier le concept de fréquentation en horaires irréguliers (planning de fréquentation au mois) dans les structures d’accueil extrafamilial cantonales, afin de répondre aux besoins réels des familles.
Article premier La Constitution de la République et Canton de Neuchâtel (Cst.NE), du 24 septembre 2000, est modifiée comme suit :
Article 8, alinéa 1 (nouvelle teneur)
L’égalité de droit est garantie. Nul ne doit subir de discrimination, notamment du fait de son origine, de son ethnie, de sa couleur, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ou du fait d’une déficience physique, mentale ou psychique.
Les récentes et très mauvaises nouvelles financières de la fondation Analyses & diagnostics médicaux (Admed) nous amènent à poser diverses questions concernant la gouvernance d’établissements paraétatiques du domaine de la santé: