De longue date, les écoliers sont sollicités pour vendre différents objets en soutien à des organisations et actions diverses. Récemment, en pleine campagne sur l’initiative «Biodiversité», des enfants ont vendu des «Ecus d’or», dont les bénéficiaires sont ProNatura et Patrimoine Suisse. Ils ont donc, bien involontairement, été contraints de financer ces organisations et leur propagande politique.
Quels sont les critères existants pour donner des autorisations de vente dans le cadre scolaire?
Parmi les neuf premiers projets retenus dans le cadre du programme «Vivre ensemble» (communiqué de presse), le groupe libéral-radical constate avec stupéfaction qu’un des projets retenus est porté par «l’intercollectif Grève du climat».
Si le but poursuivi par l’organisation d’un Black Freeday est louable en soi, le Gouvernement ne considère-t-il pas qu’il soutient ainsi directement, et avec des fonds publics, un acteur prônant régulièrement la désobéissance civile?
Est-il possible de connaître le nombre d’établissements scolaires privés dans le canton et quelles formes de soutiens ces écoles privées reçoivent-elles de l’Etat et des communes?
La fermeture brutale de ce home, qui a mis en difficulté nombre de résidents, n’aurait-elle pas pu être anticipée par les moyens de contrôle dévolus aux EMS qui font partie du Service cantonal de la santé publique (SCSP)?
Existe-t-il dans notre canton, tout comme cela se passe dans le canton de Vaud, des ophtalmologues étrangers qui opéreraient sans le titre d’ophtalmo-chirurgie requis en Suisse?
Dans ce cas, ils mettraient en danger potentiel leurs patients opérés et abuseraient l’autorisation de facturer à charge de l’assurance obligatoire des soins (AOS) en prétendant à des honoraires auxquels ils n’auraient pas droit.