Nous avons dû voter des crédits complémentaires pour renflouer les caisses du Réseau hospitalier neuchâtelois (RHNe), établissement de droit public qui vient de prendre une participation dans le groupe Volta, lui aussi en fâcheuse posture financière. Le Conseil d’État s’en réjouit et affirme que cela n’entraîne aucune charge supplémentaire pour l’État.
Si cette participation devait aggraver les déficits de RHNe, ne serions-nous pas appelés à voter de nouveaux crédits pour renflouer cette structure mixte, ce qui, de fait, représenterait une réelle charge supplémentaire?