Les finances du Réseau hospitalier neuchâtelois (RHNe) et d’autres hôpitaux suisses restent largement déficitaires, sans perspective d’amélioration. Dans le journal ArcInfo du 29 janvier 2025, le président du Conseil d’administration, M. Philippe Eckert, évoque une stratégie fondée sur les moyens plutôt que sur les besoins.
Comment le Conseil d’État interprète-t-il cette déclaration ?
Par ailleurs, la répartition prévue des blocs opératoires (60% Pourtalès, 40% La Chaux-de-Fonds) est-elle toujours respectée, en tenant compte des investissements dans le Haut ?
La croissance démographique cantonale reste faible, mais grâce aux efforts du Conseil d’État, le solde migratoire est redevenu positif.
Qu’en est-il sous l’angle fiscal ? Sur dix ans, Neuchâtel a-t-il gagné ou perdu en revenu et fortune imposables ? Comment évoluent ces flux ?
En comparaison intercantonale, quelle est l’évolution des ressources fiscales, de la pyramide fiscale des arrivants/départs, du nombre de contribuables de plus de 150'000 francs et du solde naturel des Suisses et étrangers fin 2024 ?
On a beaucoup parlé de désarmer la police de la Ville de Lausanne, ce qui est franchement inquiétant quant aux moyens donnés aux forces de l’ordre pour remplir leur mission. Quelle est la situation dans le canton et dans les villes du canton de Neuchâtel ? La politique actuelle est-elle susceptible d’être modifiée dans un avenir plus ou moins proche ?
Les foyers de jour jouent un rôle clé en contribuant à maintenir l’autonomie des aîné-e-s et à retarder leur entrée en institution. Considérant que les foyers de jour dans le canton de Neuchâtel ne parviennent pas à financer les prestations prévues par la Planification médico-sociale (PMS) et ainsi assurer leur pérennité, nous souhaitons savoir si le Conseil d’État envisage de procéder à une révision du financement des foyers de jour dans le canton et, si oui, dans quel délai.
Les urgences hospitalières sont particulièrement débordées durant les périodes de fêtes et de vacances scolaires, en raison essentiellement de la fermeture prolongée des cabinets médicaux qui ne proposent pas de remplaçants.
N’est-il pas temps d’assortir le droit de pratique d’une obligation de garantir l’ouverture d’un nombre minimal de cabinets, déterminé par le service cantonal de la santé publique (SCSP), durant ces périodes, comme c’était l’usage précédemment, et de façon volontaire, chez les médecins « baby-boomers » ?