Détail

Interpellation | Nuisances dans les transports publics commises par des requérants d’asile

Auteur-e(-s): Groupes UDC et libéral-radical

Contenu (questions posées au Conseil d’Etat):

Le Conseil d’Etat peut-il nous renseigner sur le nombre réel de cas de nuisances, crimes et délits commis dans les transports publics neuchâtelois par des requérants d’asile? Une enquête et récolte de témoignages a-t-elle été effectuée auprès des collaboratrices et des collaborateurs de TransN œuvrant sur les lignes sensibles (Fleurier – Les Verrières, Boudry – Neuchâtel)? Le renforcement de la sécurité a-t-il eu l’effet escompté? Quels sont les coûts réels de sécurité imputables à ces nuisances dans les transports publics? Comment se fait-il que des migrants déboutés et considérés comme «problématiques» installés au centre des Verrières (spécialisé en la matière) puissent se déplacer librement et sans surveillance – y compris le soir – dans les transports publics et dans les rues?

Développement (commentaire aux questions):

Sur certaines lignes, les transports publics sont de moins en moins sûrs, la faute à des fauteurs de troubles séjournant respectivement dans les centres d’asile de Boudry et des Verrières. De nombreux témoignages de citoyens excédés confirment cet état de fait, mais peu de cas aboutissent sur des plaintes, la population se sentant bien souvent peu entendue lorsqu’il s’agit de dénoncer des cas de nuisances. Plusieurs interventions sont passées sous silence, y compris dans les médias (comme la récente agression d’une commerçante de la gare par un requérant d’asile des Verrières armé d’un râteau). La situation est bien plus terne que celle qui semble être présentée officiellement et nous demandons des réponses claires.

Plus d’informations sur le site internet de la République et Canton de Neuchâtel.