Afin de tenir ses visiteurs informés des activités du groupe libéral-radical au Grand Conseil neuchâtelois, le site du PLRN publie les différents objets (motions, interpellations, questions, etc.) déposés par ses membres.
Combien d’étudiant-e-s de l’Université de Neuchâtel sont bénéficiaires d’une bourse et combien d’entre elles et eux doivent être aidé-e-s par les services sociaux ? Parmi elles et eux, combien sont-ils neuchâtelois-e-s ? Une étude a-t-elle été réalisée concernant les ressources des étudiant-e-s de l’Université de Neuchâtel et leur budget ? Sait-on finalement pour quelles raisons certain-e-s cessent leurs études (hormis celles et ceux qui échouent et doivent arrêter règlementairement) ?
L’auteure de ce postulat (la députée Caroline Juillerat) demande au Conseil d'Etat de redéfinir les devoirs de la personne responsable lors de la révision de la loi sur la police du commerce (LPCom).
Les agriculteurs sont confrontés à de grandes quantités de déchets sur leur terre, dont certains sont mortels pour le bétail, en particulier les canettes et les selles des canidés atteints de néosporose.
Bien que la salubrité publique et la gestion des déchets relèvent de la compétence des communes, le canton s’est engagé à mener des actions pour informer, sensibiliser et inciter sur cette problématique. C’est pourquoi le Conseil d’Etat est invité à répondre aux questions suivantes :
Le Grand Conseil demande au Conseil fédéral, en étroite collaboration avec l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (FINMA), la Banque nationale suisse (BNS) et le Conseil d’administration d’UBS, d’évaluer les divers scénarios et autres structures juridiques appropriés en vue de minimiser les risques systémiques, juridiques et financiers pour la Suisse suite au rachat de Credit Suisse (CS) par UBS.
Parmi ces scénarios, la séparation des diverses activités de la nouvelle UBS, notamment les activités nationales de CS, doit être envisagée afin de les rendre autonomes. La création d’une Holding UBS SA pourrait chapeauter ces diverses entités, tout en détenant 100% de leurs actions. Cette mesure est importante pour préserver les emplois, pour les banques et les petites et moyennes entreprises (PME), pour maintenir la concurrence et pour éviter un nouvel effet domino aux conséquences catastrophiques, tant pour la place financière suisse que mondiale, si une nouvelle crise survient.
La mise en place d’une nouvelle stratégie doit prioritairement viser une réduction des risques et la sauvegarde des intérêts des clients de la banque. Nous demandons donc que des garanties allant dans ce sens soient exigées de la part des autorités qui se sont fortement engagées financièrement dans ce sauvetage.
Par ailleurs, les réglementations existantes ont clairement montré leurs limites et leur incapacité à anticiper ce désastre pour l’image de la place bancaire suisse et notre inaptitude à prendre suffisamment tôt les mesures qui s’imposaient. Là également, les rôles de la FINMA, de la BNS, voire du Conseil fédéral sont à clarifier.
Enfin, l’auteur demande que les responsables de cette « déconfiture » soient mis face à leurs responsabilités, rendent des comptes et, dans l’immédiat, ne perçoivent naturellement aucun bonus.
Le groupe libéral-radical interpelle le Conseil d’Etat sur la concrétisation de la mise en place des surfaces de promotion de biodiversité (SPB) sur les terres assolées. Concrètement, nous souhaitons obtenir des réponses aux questions suivantes :
Existe-t-il des recommandations fédérales concernant l’implémentation des mesures de biodiversité sur les terres assolées, notamment des mesures transitoires ?
Le Conseil d’Etat partage-t-il l’appréciation que ces nouvelles mesures modifient considérablement les principes actuellement en vigueur et nécessitent une flexibilité dans leur mise en œuvre ?
Le Gouvernement entend-il permettre la dénonciation anticipée des contrats « Réseaux » et « Paysage » actuels conclus avec les exploitants, afin de leur permettre de s’adapter aux nouvelles dispositions qui entrent progressivement en vigueur ?
Une coordination des pratiques entre Cantons est-elle d’actualité afin d’éviter des disparités cantonales contradictoires et arbitraires ?
A court et moyen terme, le Conseil d’Etat entend-il prendre des mesures afin de faire coïncider l’échéance des contrats conclus avec les modifications prévisibles des législations fédérales et cantonales ?
Enfin, à défaut de prendre les mesures adéquates, le Conseil d’Etat considère-t-il comme probable un effet contre-productif des nouvelles mesures à mettre en place en opposant biodiversité à productivité ?
Le cerf sauvage est en cours d’établissement dans le canton et les quelques éleveurs de cerfs domestiques se trouvent confrontés aux frasques des cerfs sauvages mâles attirés par les biches de leurs élevages. Bien que ces derniers soient protégés par des barrières fixes de 2 mètres de haut, ils n’hésitent pas à les franchir et à les détruire. Pour les éleveurs, les dégâts sont considérables.
Comment l’État gère-t-il ces cas et de quelle façon indemnise-t-il les propriétaires ?
Certains accueils parascolaires publics de notre canton ont décidé d’abolir le brossage des dents des enfants qui viennent durant le repas de midi. Il semblerait que ce soit par «commodité», car cela semble trop compliqué de faire brosser les dents à tout le monde.
Connaissant l’importance d’une bonne hygiène dentaire et les risques pour la santé que l’absence de sensibilisation peut provoquer, comment le Conseil d’Etat se positionne-t-il sur ce sujet?
Lors de la pandémie, le secteur hôtellerie/restauration a eu à souffrir des restrictions sanitaires. Quel est le nombre d’établissements de ce secteur qui ont fait faillite durant ces deux dernières années en relation directe avec la pandémie?
Par ailleurs, quelle part des prêts Covid-19 a déjà été remboursée au niveau cantonal?
Avec le tremblement de terre ayant eu lieu le 6 février 2023 au sud de la Turquie et en Syrie, un drame humain supplémentaire frappe cette région dont nombre de résidents neuchâtelois sont originaires.